Les ménages consacrent près de 20% de leurs revenus au coût de leur habitation principale, un poste de budget qui n’a cessé d’être en augmentation alors même que ce logement est parfois loin du lieu de travail ou ne présente pas une surface idéale habitable selon la composition du foyer. C’est donc à juste titre que l’on enregistre une légère baisse de moral chez les acquéreurs. Ce sont d’ailleurs les accédants à la propriété qui consacrent la part la plus importante de leurs revenus au logement ce qui a une incidence sur les autres postes de consommation.
La légère baisse de moral des acquéreurs face à la crise du logement
La crise du logement est récurrente car la hausse des loyers est un élément d’inflation salariale sans gain de pouvoir d’achat pour les locataires ou primo accédants de résidence principale. Cela crée des zones dites tendues ou l’offre devient moins élevée que la demande.
De surcroit, les logements deviennent obsolètes et leur coût de rénovation ou d’entretien peut freiner les achats effectifs. Même les biens atypiques de grande surface ayant connu un attrait particulier ne trouvent plsu preneur. Qui n’a pas entendu parler de l’église de Decazeville dans l’Aveyron d’une superficie de 267m2 avec 14 hectares de terrain, vendue sur le bon coin pour la modique somme de 50 000 € ? Si tout est en état des travaux sont à prévoir.
Tout comme les logements offerts par les mairies pour 1€ symbolique à condition de résider quotidiennement ensuite dans le logement rénové. Car il est un fait, qu’il y a également une urgence d’entretien du parc immobilier mais également un impérieux besoin de respect des ressources énergétiques sachant que selon l’institut Negawatt, plus de 40% de la consommation d’énergie finale provient en fait du secteur résidentiel et des bâtiments dot les conceptions et isolations sot à revoir dans leur intégralité.
Il y a donc un réel effort à engager que ce soit des propriétaires ou bien des politiques du logement en faveur des aides au logement, des incitations fiscales de rénovation. En matière de stratégie de rénovation énergétique des bâtiments et quartiers tout en assurant une rentabilité et sécurité aux investisseurs, il semble donc bien que seul le dispositif Pinel emporte toutes les faveurs et redonne confiance et satisfaction aux acquéreurs en vue de louer leur bien afin d’obtenir un retour sur investissement réel et concret sans dépense superflues d’entretien et charges de mise aux normes.
Les stratégies de redynamisation des transactions immobilières: la loi Pinel tire son épingle du jeu
Les taux d’intérêts demeurent toujours relativement bas malgré les interrogations récurrentes sur les perspective de leur relèvement. Aussi, l’intérêt à investir dans la pierre demeure t il toujours attractif. Mais le changement de cap revient sur une réelle remise en cause de cet achat important et traditionnel permettant l’audace et le défi d’investir sur du logement neuf défiscalisé en vue de le louer. Bien entendu, il ne s’agit pas d’acheter vaille que vaille n’importe ou.
Seuls les conseils judicieux d’un expert immobilier ainsi que le guide complet de la loi pinel disponible sur le site www.loi-pinel.fr, permettront de se faire une idée précise de cet investissement défiscalisé porteur à terme d’une économie d’impôt jusqu’à 63 000 euros sur douze ans en plus d’obtenir un capital immobilier à terme finançable par les loyers, certes plafonnés mais réels. Aucun compte e banque ou livret d’épargne ne permet actuellement de réaliser un tel retour sur investissement financier. La garantie de l’Etat de soutenir cet investissement par le vote d’un budget dédié en loi de finance, adopté par l’assemblée nationale comme le Sénat, confirme l’enthousiasme porté à cet essor immobilier en mode Pinel.
